Ah ! Ces mômes !
1 Corinthiens 10.11 – Ces choses leur sont arrivées pour servir d’exemples, et elles ont été écrites pour notre instruction. Nous avons tous été de jeunes adolescents avides d’expérimenter de nouvelles choses, de mordre la vie à pleines dents et pour la plupart, nous avons eu des parents qui nous disaient : « Ne fait pas ceci, fait attention à cela, soit prudent avec telle chose… », et nous, jeunes connaissant tout, nous n’avions qu’un désir, c’était d’envoyer promener nos chers parents. Ensuite, en prenant de l’âge, nous sommes devenus nous-mêmes parents et le processus se répète. Combien nous comprenons aujourd’hui nos parents qui usaient de prévenance à notre égard afin de nous éviter bien des tracas et des déboires pour notre vie. Avec Dieu, c’est pareil ! Le Seigneur, au travers de sa Parole, nous dit avec tendresse : « Attention à ceci, observe cela… » Ce n’est pas pour nous contrarier qu’Il nous dicte cette règle mais, par sa Parole, Il fait preuve de prévenance à notre égard sachant qu’ainsi, si nous L’écoutons, nous éviterons certaines souffrances. En cette journée, ne jouons pas l’enfant rebelle mais ayons un cœur d’enfant docile, à l’écoute de notre Papa Céleste. Il nous aime tant. Bonne réflexion. Soyez pleinement béni(e)s. Pasteur Corinne
Parents d’un fils prodigue !
Luc 15.11 (Parole de Vie) – Alors le père partage ses richesses entre ses deux fils. L’histoire du fils prodigue est très souvent utilisée pour apporter des messages. Que cela soit pour l’évangélisation ou pour encourager un retour à Dieu, nous restons bien souvent focalisés sur l’attitude des deux fils. Parfois, nous saluons l’attitude exemplaire du père qui est un modèle de pardon. Dans notre « conscience » chrétienne, le père est d’ailleurs associé à Dieu le Père, qui ne se lasse pas de pardonner. Pourtant, j’aimerais humaniser le père, afin d’en tirer une leçon pour nous qui sommes parents. Je repose les bases de cette histoire dans ce sens. Le jeune fils, appelons-le Simon, est un petit gars prétentieux, bourré d’égoïsme, insolent et manipulateur. Le père a beaucoup de désagréments avec ce fils. Il met une mauvaise ambiance dans la maison, il est paresseux, tout le contraire de son frère, en fait il profite un max de la vie de château que ses parents lui offrent dû à leur aisance financière. Mais, ce n’est pas suffisant, il veut plus. Le père est devant un choix difficile. S’il refuse la demande de Simon, il risque de fuguer et de faire encore plus de « bêtises » qu’il n’en a déjà faites. Son épouse, craignant pour son « bébé », l’encourage vivement à dire oui. Devant cette « pression », le père cède à cette demande pour le moins déplacée. Seulement quelques jours après, Simon emporte l’argent et part sans dire au revoir. Je pense que dans notre humanité, la première réaction que nous aurions ce serait de dire : « Je n’aurais pas dû lui donner cet argent. » Nous nous accaparerions la responsabilité de ce désastre. Notre deuxième réaction serait peut-être d’incriminer les mauvais conseils de notre épouse. Ou encore de nous réfugier dans un sentiment de colère envers ce fils indiscipliné. Quoi qu’il en soit, ce ne serait pas la solution. Nous commettons des erreurs qui peuvent avoir des dommages collatéraux et c’est une bonne chose de savoir reconnaître ses torts. Cependant, il reste un principe immuable : chacun est responsable de ses choix. Pour en revenir à notre père de la parabole, il n’aurait pas pu avoir l’attitude qu’il a eu au retour du fils prodigue s’il avait entretenu le genre de sentiments cités plus haut. Cette attitude de pardon et d’accueil ne peut venir que d’une personne qui est libre de toute culpabilité. A vrai dire, si comme Dieu, nous pouvions voir beaucoup plus loin, nous comprendrions que « ce désastre » a donné une bonne « leçon de la vie » à notre jeune écervelé. Celle du genre qui ne s’oublie pas et qui produit un changement salutaire. Tu te reproches peut-être beaucoup de choses. Tu es très sévère avec toi-même mais j’aimerais te dire qu’il est temps de tourner la page. Cherche auprès du Seigneur la délivrance de cette culpabilité avilissante afin que les choses bougent, et pour toi et pour les autres. Avec toute ma compassion. Bonne réflexion. Pasteur Claudy
Les besoins du corps de l’enfant
ETRE « ESCORT » C’EST SE PROSTITUER
En 2018 a eu lieu en France le procès de douze proxénètes qui a, comme l’a dit la presse, « levé le voile sur le profil inquiétant des jeunes filles qui se prostituent pour s’offrir des vacances en Espagne ou s’acquitter d’une amende RATP… »[1] Quatorze adolescentes étaient mises en cause, aucune ne s’est présentée pour témoigner… Je me souviens d’avoir écouté, à la radio, le témoignage d’un travailleur social qui tentait d’aider ces toutes jeunes filles. Il expliquait qu’effectivement, elles ne souhaitaient pas témoigner contre les proxénètes, parfois par peur mais surtout parce qu’elles déclaraient être « consentantes ». En effet, majoritairement, ces jeunes filles indiquaient être des « escorts » et non pas des prostituées. Ce travailleur social faisait part de son désarroi et de celui de ses collègues : il leur était impossible de faire entendre raison à ces jeunes filles qui estimaient avoir choisi leur mode de vie et qui déclaraient être désireuses de « vivre de leurs charmes ». Quant aux proxénètes, ils disaient jouer le rôle de protecteurs pour des filles faciles et dévergondées. Ainsi aujourd’hui il faudrait différencier « l’escorting » de la prostitution… Les escorts ne travaillant pas dans la rue mais grâce aux réseaux sociaux, elles échapperaient au côté sordide de l’affaire. Certaines vont même jusqu’à expliquer qu’elles « choisissent » leurs clients. Les médias ont fait la part belle à des femmes qui se prostituent ou qui vivent en vendant leur corps par réseau social interposé. Le monde en a fait des « icônes ». L’une d’entre elles est ainsi devenue mannequin puis actrice, tandis que le style d’une autre a inondé la planète, jusqu’à devenir « un idéal de beauté ». Pour certaines très jeunes filles, ces femmes sont devenues des modèles, modèles esthétiques mais aussi modèles de réussite. Et pourtant… Pourtant quand on obtient quelque chose en échange d’un acte sexuel, on se prostitue. Ainsi, petite sœur, que tu « gagnes » de l’argent, des bijoux, des vêtements ou du parfum en échange d’un acte sexuel, y compris à distance, tu te prostitues. Si l’homme qui te « donne » ces « cadeaux » n’est pas ton mari et utilise ton corps en échange, tu te prostitues. Mais tu sais, Jésus a été critiqué pour avoir été « l’ami des prostituées ». Alors ne crains rien, petite sœur, cours vers Lui, Il t’attend, Il te tend les bras. Il t’aime, Il veut s’asseoir à ta table et manger avec toi. Il ne te rejettera pas. Emmanuelle K. [1] https://www.20minutes.fr/societe/2300435-20180702-proxenetisme-cites-inquietant-profil-jeunes-adolescentes-jouent-escortes
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